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    Statines ? Vous avez dit statines ?

     

     

     

    Statines ? Faux médicament mais vrai poison. Cette molécule, ce médicament « miracle », censé protéger le cœur de l'infarctus en diminuant le taux de cholestérol dans le sang, détruit les muscles ! Or qu'est ce que le cœur sinon un muscle, et LE principal de notre corps. Cherchez l'ERREUR !!! Et pourquoi devrions-nous diminuer le cholestérol dans notre sang, alors que ce lipide est un élément essentiel pour la biochimie de notre corps ? Il favoriserait, nous dit-on, la formation des plaques d'athérome dans nos artères. Ah !? Rien n'est moins sûr. Je vous invite à lire attentivement l'excellent livre du Dr Michel de Lorgeril « Cholestérol, mensonges et propagande » qui vous en apprendra beaucoup sur le cholestérol.

     

    À méditer :

     

    Une pilule de statine vaut 1€, à raison d'une pilule par jour et par personne et comme il y a 7 millions de personnes en France qui consomment cette cochonnerie, le calcul est simple :

     

    1 × 365 × 7 000 000 = 2 555 000 000 €

     

    Soit deux milliards cinq cent cinquante cinq millions d'Euros que l'Assurance maladie verse chaque année à « Bigpharma » pour nous empoisonner ! 

     

    Et il est à l'ordre du jour de faire avaler cette saleté, de manière préventive contre l'infarctus, à toute la population à « risques » de cholestérolémie !!! Un des plus grands hold-up de Bigpharma sur nos cotisations sociales.

     

     

     

    Buvez de l'eau !

     

     

     

    L'eau est un élément essentiel à la vie. Là, je sais que j'enfonce une porte à deux vantaux grande ouverte. Cependant, je crois nécessaire de rappeler cela parce que nous avons ajouté un exercice supplémentaire à notre expérience de nouvelle diète, boire une bonne quantité d'eau le matin au réveil est salutaire, nous l'avons constaté. En effet, il est essentiel de se réhydrater le matin au réveil. Pourquoi ? Parce que, me répondrez-vous, mais encore ? Encore ? Voici pourquoi ; vous avez certainement remarqué que votre poids le matin est inférieur à celui que vous aviez le soir en vous couchant, et pourtant, à moins d'être somnambule, et de parcourir les toits de votre ville en pyjama la nuit les bras en avant, à part respirer, vous ne faites aucun autre exercice physique durant votre sommeil qui pourrait provoquer cette perte de poids. Certains pourraient m'objecter « Et le sport en chambre alors ? », oui, mais passé un certain âge sur celui-là on se calme un peu. Mais revenons-en à l'eau. La nuit, durant notre sommeil, nous respirons et nous transpirons. La vapeur d'eau évacuée par la respiration et la sudation, c'est autant d'eau que nous perdons, d'où la perte de poids et la nécessité de se réhydrater dès le lever, mais pas seulement. L'eau a la particularité de drainer et de régénérer tous les liquides physiologiques de notre organisme (lymphe, sang, tissus cellulaires etc.), en plus, cette eau favorise l'évacuation de tous les déchets accumulés puis filtrés par nos différents organes prévus à cet effet (reins, intestins) de manière plus rapide, plus fluide et diluée donc plus facile pour les organes concernés. Les filtres, ça se nettoie aussi. Autre avantage, cette eau « regonfle » tous nos cartilages, surtout les intervertébraux. Au saut du lit, buvez un litre et demi d'eau, de source de préférence. C'est purgatif, laxatif et diurétique, et ce, de manière naturelle. Notre organisme se nettoie et se régénère avec cette eau ingurgitée avant tout autre alimentation. On peut prendre, à la rigueur, un « petit dej » en suivant, c'est selon, moi je ne mange qu'un fruit et trois ou quatre figues sèches, cela me suffit pour tenir jusqu'à midi. Une bonne douche à l'intérieur du corps, s'accompagnant d'une bonne douche de l'extérieur du corps nous voilà propres à l'intérieur et propre à l'extérieur. Note : cette importante quantité d'eau absorbée en un délai court, favorise rapidement le transit, il est donc recommandé de prendre ses précautions en ce qui concerne la proximité de lieux d'aisance.

     

     

     

    À suivre....

     

     

     


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  • Quid de novi ?

     

    Nous sortons de l'hiver, qu'avons nous appris, réappris et compris ?

    Ce que nous avons compris :

    Après dix mois d'expérience nous pouvons tirer la conclusion suivante : ça marche !!

    Ce que nous avons réappris :

    Pendant des milliers d'années, au fur et à mesure et à force de mutations, notre organisme s'est adapté à l'écosystème dans lequel il vit et évolue, et qu'il doit rester au diapason de cet écosystème pour éviter les désordres. Or, nous l'avons sorti de cet équilibre, et ce, sans transition et sans le savoir.

    Un jour un imbécile de course a battu tous les records de la bêtise en édictant l'ânerie suivante : « Le temps c'est de l'argent », et depuis lors tout le monde court après le temps. Nous ne savons plus prendre notre temps, marcher au rythme des saisons, manger des légumes de saisons. Curieux de manger des cerises le jour de Noël ? C'est une supercherie, on nous leurre à chaque instant pour des raisons économiques. Pour éviter ces leurres, commençons déjà par remettre nos montres à l'heure, il n'est pas 14 heures à midi comme ceux qui nous gouvernent nous le font croire. Voila un leurre que nous pouvons éluder facilement.

    Ce que nous avons appris :

    Il faut revenir aux sources, au respect de notre organisme et de son horloge interne. Si certains de notre espèce ont déjà muté (groupe sanguin « A » ou « AB »), nous, ceux du groupe « O » non, ou pas encore. Nous savons maintenant que le gluten est toxique pour le groupe sanguin « O », l'expérience nous le prouve. D'autant plus toxique que les traficoteurs de l'agroalimentaire en ont fait doubler la teneur dans les céréales en les manipulant génétiquement, entre autre pour le blé, qui contient 7% de gluten à l'état originel, en contient à présent 14%. Quant au lactose, lui, il est toxique pour tous les groupes sanguins dès que les individus ont dépassé l'âge de 6 ans.

    Cela fait maintenant 11 mois que j'ai éliminé de mon bol alimentaire le gluten et le lactose, les résultats sont là ; poids stabilisé entre 72 et 73 kg pour une taille de 172 cm, mes genoux ont retrouvé leur souplesse (j'ai échappé à des opérations chirurgicales inutiles) et surtout, surtout plus de psoriasis !!

    Autre surprise, j'ai commencé à développer la maladie de Dupuytren en 2008. D'abord dans la paume de la main droite puis dans la paume de la main gauche. Les nodules allaient en évoluant, deux dans la main droite et un seul dans la main gauche. Bin.........en même temps que mon psoriasis dans les paumes des mains régressait, les nodules régressaient aussi ! Il ne reste à présent de ces nodules qu'un seul dans chaque paume. Un des nodules dans la paume de la main droite a complètement disparu, quant aux deux autres ils se font de plus en plus discrets. Curieux non !?

    Bien entendu, j'ai conté l'expérience de ce changement de ration alimentaire autour de moi, voici quelques unes des remarques : « Tu manges quoi maintenant ? » Ou, « Tu ne manges plus rien alors !» Ou encore « Mais les pâtes, le pain et le reste tu les as remplacés par quoi ? ». Ce à quoi je réponds : « On ne remplace pas un toxique, on en consomme plus c'est tout» ou « Je mange tout le reste, tout ce qui ne contient ni gluten ni lactose ».

    Alors je mange quoi ? Des graines, pois cassés, millet, riz (complet), quinoa, haricots de toutes sortes, pois chiches, petits pois etc. Tous les légumes sauf les pommes de terre qui contiennent trop de sucre, toutes les salades, tous les fruits, toutes les racines comestibles connues, tous les poissons, les oiseaux comme le canard, le poulet etc, du bœuf, du mouton. Bien entendu, toutes ces denrées sont forcément issues de la culture « biologique ». J'évite autant que faire se peut tout ce qui est d'origine agroalimentaire forcément pollué par les pesticides et autres engrais industriels inutiles. Voici deux recettes faciles à faire, et surtout sans toxiques ni polluants industriels (tous les ingrédients sont issus de l'agriculture dite « biologique »). De manière générale les proportions pour une personne sont : 100 grammes de protéine animale (pas plus) et en accompagnement 60 grammes de graines ou 150 grammes de légumes (pas plus), ni sel ni sucre ajouté.

     

    La bavette de bœuf au quinoa ( quantité pour deux personnes).

    2 tranches de bavette de 100 g chacune.

    100 g de quinoa.

    200 g d'eau.

    1 oignon.

    4 gousses d'ail.

    3 cuillères à soupe d'huile d'olive.

    1 cuillère à café de curry.

    2 cuillères à café de cumin moulu.

    Du poivre.

    1 morceau de gingembre de la taille d'une cuillère à soupe.

    1 zeste de citron.

    1 bouquet de coriandre frais.

    2 cuillères à soupe de Porto (facultatif).

    Préparation :

    Éplucher l'oignon, le couper en 4 et le couper en rondelles assez fines.

    Éplucher les grains d'ail, les dégermer et couper en petits morceaux

    Éplucher le gingembre et le hacher fin.

    Hacher le zeste de citron très fin

    Laver et hacher grossièrement le bouquet de coriandre.

    Cuisson :

    1. Mettre dans une une casserole les 200 g d'eau. Pour cuire le quinoa, toujours le faire cuire dans le double de son poids d'eau, ici pour 100 g de quinoa 200 g d'eau. Verser les 100 g de quinoa dans l'eau et porter à ébullition. Arriver à ébullition baisser la flamme. Cuisson environ 10 minutes. Goûter au fur et à mesure pour arriver à la bonne cuisson, les graines de quinoa éclatent, mais elles doivent rester ferme. Rajouter un peu d'eau durant la cuisson, les graines absorbent quasiment toute l'eau durant leur cuisson. Une fois cuites, réserver et couvrir la casserole.

    2. Dans une grande casserole, verser les 3 cuillères à soupe d'huile d'olive, y mettre les rondelles d'oignon. Bien touiller, ensuite allumer le feu et faire revenir à feu vif les rondelles d'oignon sans les brûler. Baiser le feu au minimum et touiller jusqu'à ce que les rondelles d'oignon deviennent presque transparentes. Ajouter le zeste de citron, le gingembre et l'ail. Touiller 5 minutes. Éteindre le feu. Verser sur cette préparation le quinoa. Bien touiller pour bien mélanger. Verser le curry et le cumin, bien mélanger. Poivrer et mélanger. Verser les 2 cuillerées de Porto, bien mélanger. Verser le coriandre haché et mélanger. Couvrir la casserole et réserver.

    3. Faire chauffer la poêle à frire et faire frire les tranches de bavette sans matière grasse ni huile. La cuisson suivant les goûts.

    4. Servir dans une assiette les tranches de bavette avec leur garniture (quinoa au coriandre).

     

    Filet de cabillaud au riz complet (pour deux personnes).

    300 g de filet de cabillaud (150 g par personne).

    100 g de riz complet (non étuvé) issu de la culture biologique (50 g par personne).

    1 oignon.

    4 gousses d'ail.

    3 cuillères à soupe d'huile d'olive.

    1 cuillère à soupe de purée de tomate.

    1 citron.

    1 morceau de gingembre de la grosseur d'une cuillère à soupe.

    3 cuillères à café de curry.

    1 cuillère à café de curcuma.

    Poivre.

    1/4 litre d'eau.

    Préparation :

    Éplucher l'oignon et le préparer comme dans la précédente recette.

    Les grains d'ail idem.

    Couper le citron et en extraire le jus.

    Hacher menu le morceau de gingembre.

    Couper en morceaux (pas trop petits) les filets de cabillaud.

    Cuisson :

    1. Dans une casserole, mettre le riz dans 1 litre d'eau froide. Porter à ébullition, réduire le feu et laisser cuire 45 minutes environ. Cuisson suivant les goûts de chacun.

    2. Dans une autre casserole, faire revenir à feu vif l'oignon dans 3 cuillerées d'huile d'olive. Baisser le feu et ajouter le gingembre et l'ail. Laisser chauffer 5 minutes environ Verser sur cette préparation la moitié de l'eau, le jus de citron et la cuillerée de purée de tomate, touiller et laisser chauffer à feu doux pendant 5 minutes, puis verser le curry et le curcuma, mélanger et poivrer. Ajouter le reste d'eau et laisser cuire à feu doux pendant 10 minutes.

    3. Cuire à la vapeur les morceaux de filet de cabillaud.

    4. Servir dans une assiette les morceaux de filet de cabillaud, accompagnés du riz sur lesquels on versera la sauce au curry.

    Option, cette recette peut se faire avec du poisson cru, à condition de l'avoir congelé à cœur au moins 24 h pour tuer les éventuels parasites qu'il pourrait contenir (ténias ou autre).

     

     

     

     

     

    À suivre.


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  • Ceci est l'histoire d'une expérience qui a débutée le 02 Juin 2011

     

    Jeudi 2 Juin je monte sur la bascule, il est 10 heures du matin : 84 Kg. Aujourd'hui, c'est la Saint Kévin, je pense à mon petit frère, c'est sa fête. Quatre-vingt quatre kilogrammes pour 1,72. En plus d'avoir perdu 2 cm de taille je grossis ! IMC = 29,6 presque 30. D'après le tableau conventionnel, (https://secure.wikimedia.org/wikipedia/fr/wiki/Indice_de_masse_corporelle) à mon âge, 67 ans, je ne devrais pas dépasser le coefficient 24, j'en suis loin, je suis en surpoids, voire même au début de l'obésité. Mes mains sont de vraies plaies suintantes mangées par le psoriasis, mes coudes et mes genoux couverts de plaques de psoriasis qui desquament et qui laissent des plaques rouges. En plus de ça, mes genoux me font mal. Je ne suis plus capable de monter un escalier debout, il faut désormais que je les gravisse à quatre pattes ! Si l'homme descend du singe, bin parfois il y retourne, tel est mon cas. Gros, voûté, squameux, plus deux alertes cardiaques voici sept ans. Je suis devenu une loque humaine, il ne me manque plus que mon bâton à clochette des lépreux d'autrefois pour avertir de l'arrivée, non pas de l'homme qui rit, mais de l'homme qui pourrit vivant, qui pourrit sur place. Même mes mains sont devenues raides et ont perdu leur habileté. Je n'arrive plus à écrire correctement tellement mes doigts ont perdu leur souplesse. Ce que je redoute le plus, c'est les escaliers du métropolitain. Obligé de me cramponner à la rampe en traînant lamentablement ma valise et soulever, marche après marche mes 84 kg, tellement mes genoux me font souffrir.

    Je suis un homme malade, gros, cardiaque, diabétique, « cholestérolique », à la peau mangée par le psoriasis, aux articulations rouillées par les rhumatismes provoqués par le psoriasis. Alors je me soigne, Bigpharma a tout prévu, ma médication le prouve :

    • Tahor 40 (cholestérol).

    • Kardégic (pour fluidifier le sang).

    • Témérit (hypertension).

    • Exoforge (hypertension).

    • Compétact (diabète), ce médoc ayant des effets secondaires graves, je l'ai arrêté en Mars 2011.

    • Xélévia (le diabète).

    • Daivonex (psoriasis).

    • Gaviscon (brûlures d'estomac).

    • Compresses et sparadrap (pour couvrir les plaies engendrées par le psoriasis).

    Je suis un homme malade ? Pas si sûr.

    Ces douleurs aux genoux, j'ai commencé à les ressentir en 2007. D'abord ce n'était que le genou gauche qui me faisait mal quand je gravissais un escalier. Curieux ? Curieux parce que cela aurait dû être le droit, car c'est à ce genou que je m'étais gravement blessé il y a très longtemps. Or je n'en souffrais pas.

    Un rebouteux, que je rencontrai par hasard, me dit « Ça c'est le ménisque qui s'est déplacé, je vais te le remettre en place ». En deux trois mouvements il secoua ma jambe et remit le ménisque en place. En effet après trois séances de torsions de ma guibolle, j'allais beaucoup mieux. Mais ça ne dura pas, la douleur revint. Toujours par hasard, je rencontrai un boucher qui était aussi magnétiseur. Il imposa ses mains sur mes genoux en plusieurs séances. Légère amélioration sans plus, la douleur se fit de nouveau sentir. Maintenant c'est les deux genoux qui me font mal.

    Assez de ces charlatans, soyons pragmatiques et revenons à la science, la vraie, la médecine qui peut tout, qui a réponse à tout.

    Je vois mon médecin traitant pour ces douleurs aux genoux. Après auscultation, il me prescrit des radios des genoux. «Doit-on opérer ? - Je ne sais pas, seules les radios nous le diront». J'hésite, en fait j'ai la trouille, je n'ai pas envie de me faire charcuter.

    La douleur aux genoux s'accroît. Fin 2010 je me résigne. Je fais faire les radiographies des deux genoux, recherche d'arthrose. Résultat : rien, nada, que dalle. «Qu'un simple début d'arthrose insignifiant à peine visible», voilà la conclusion du radiologue. C'est quoi alors ? Sait pas. Alors mon médecin me prescrit deux nouveaux médicaments : un pour soigner mon « arthrose » « Piasceldine », l'autre « Zamudole » pour me soulager de ma douleur aux genoux. Deux médicaments de plus !

    Et voilà. Janvier 2011, tout le monde me souhaite une bonne année avec une bonne santé. Mouiache, une santé qui se dégrade assez vite car maintenant je commence à grossir à vu d’œil, avec un psoriasis de plus en plus envahissant. Mais je me soigne, Bigpharma est là et me cajole. Je suis soigné aux petits oignons avec Bigpharma. Pensez donc 10 médocs ! Si avec toute cette chimie je ne guéris pas, c'est que j'y mets de la mauvaise volonté. Et pourtant je m'applique. Je suis scrupuleusement ma médication. Au mois de Mai 2011, nouvelle crise sévère de psoriasis dans la paume des mains. Alors je fais appel à mon ami « Daivonex », que j'utilise depuis des années déjà. Bien mal m'en a pris, z'ont changé la formule ! En quelques heures mes mains sont complètement brûlées. Je cours chez mon médecin, et je lui présente les deux steaks tartare que sont devenues mes pauvres paluches suintantes de lymphe. Il ne peut que constater le désastre « T'es brûlé mon vieux, on va arranger ça ». Nouvelle médication, exit « Daivonex » remplacé par deux nouvelles pommades ; « Locoïde », cortisone pour guérir la brûlure et « Apsor », vitamine D pour soigner le psoriasis. Ce n'est donc plus 10 médocs à présent, mais 11 ! Je porte des gants pour protéger mes mains, à quand la canne ?

    Comme bien souvent, je parle de mes maux avec mes frères, qui souffrent eux aussi des mêmes pathologies et me disent les mêmes choses. C'est héréditaire ! On se console comme on peut. Merci papa, merci maman.

    Mais nous avons des souvenirs.

    Nous avions lu autrefois un livre qui nous avait beaucoup intrigué « Quatre groupes sanguins, quatre régimes » du docteur Peter-J d'Adamo. Je retrouve ce livre poussiéreux, et je le relis. Je le relis avec application. Je suis du groupe sanguin O, le groupe archaïque de l'espèce humaine, celui des chasseurs cueilleurs comme il est dit dans ce livre, et Peter-J d'Adamo précise, expérience à l'appui, que le gluten est un vrai toxique pour les individus appartenant à ce groupe. J'en parle à mon frère Kévin, lui aussi du groupe O. Lui aussi a relu ce livre et qui, par ses connaissances livresques, a recroisé cette affirmation. Nous en parlons à notre autre frère Timothée, du même groupe sanguin, O lui aussi. Il fait appel à ses vieux souvenirs de biologie, et nous confirme qu'en fait le gluten se digère très mal chez les humains du groupe sanguin O. Kévin lui aussi, faisant appel à ses vieilles connaissances en matière de diététique, confirme que le corps humain, du moins ceux du groupe O, ne sait pas digérer le gluten et le fourre dans tout ce qui trouve comme « poubelles » dans l'organisme, entre autre les articulations ! Quand ça déborde faut évacuer, et par où ? Eh bien par tous les émonctoires, et la peau en est un. La PEAU !!?? Là, nous avons peut être mis le doigt sur quelque chose d'intéressant. Et pourquoi tous nos maux ne viendraient-ils pas de là ?

    Nous mettons la main sur un autre livre « Lait, mensonges et propagande » de Thierry Souccar. Nouvelle découverte. Dans ce livre nous apprenons que si le lait est bon pour le petit enfant, il ne l'est plus pour l'adulte. En effet, Timothée, faisant toujours appel à ses vieux souvenirs de bio, nous explique pourquoi. Le petit enfant secrète une enzyme qui s'appelle « lactase » ce qui lui permet de digérer le « lactose » du lait. Au environs de six ans, cette enzyme n'est plus secrétée par l'organisme humain, l'homme adulte ne produit plus cette « lactase », donc ne digère plus le lactose. Conclusion Kévin ? « Bin......le lactose reste dans l'organisme, et l'organisme va le fourrer là où il peut, les « poubelles » par exemple » et Timothée complète « Et ce foutu lactose en plus acidifie le sang, ce qui n'arrange pas les os, parce que pour tamponner cette acidité, l'organisme cherchant à retrouver un équilibre, le tamponne avec le calcium qu'il trouve principalement dans les os, et si tu as de l’ostéoporose, ça n'arrange rien ».

    Mais c'est pas tout. Nous croisons un autre livre : « Rhumatismes, et si votre alimentation était coupable ? » du Docteur Jean-Pierre Poinsignon, rhumatologue de son état.

    Toutes ces informations ça commence à faire beaucoup d'indices sur une chose ; tout ce que je mange, tous les aliments que j'avale, parfois goulûment comme le pain et le fromage, sont-ils vraiment inoffensifs ? Au fond, n'y aurait-il pas une relation de cause à effet ?

    Ça alors ? Et si je n'étais pas en train de m'empoisonner avec mon actuelle alimentation ? En train de m'empoisonner avec les produits laitiers, fromages, beurre, yaourts et consorts ? Avec le pain, les pâtes, la semoule, les viennoiseries, les pizzas ? Si au bout du compte une tête de mort était en train de se dessiner au fond de mon assiette.

    Ça ne peut plus durer comme ça ! Certes il y a la souffrance, mes genoux, malgré la chimie de Bigpharma, me font toujours mal, l'impuissance devant la maladie, quoique, mais il y a aussi le respect de soi-même. Je vais tenter, qu'est ce que je risque ? Quelques privations, et alors !

    Ce 2 Juin 2011 je téléphone à Kévin.

    • Bonne fête !

    • Sympa d'y avoir pensé.

    • Aujourd'hui j'arrête tout !

    • T'arrêtes quoi ?

    • De bouffer des toxiques.

    • Tu nous tiens au courant.

    • Bien entendu.

    Donc, ce 2 Juin 2011, je supprime de mon alimentation, le gluten sous toutes ses formes, plus de pain, plus de pâtes et la suite. Le lactose idem, plus de fromage, plus de yaourt, plus de beurre etc. Toutes les charcuteries bourrées d'additifs toxiques et fabriquées avec des porcs devenus malades à force d'antibiotiques, d'hormones, et autres produits chimiques, qui ont transformés cette pauvre bête en un animal monstrueux. Fini les poulets élevés en batterie, nourris avec n'importe quoi. Fini tous les produits de l'agroalimentaire farcis de produits chimiques tous aussi toxiques les uns que les autres. Fini toutes les boissons alcoolisées, même le pinard. Fini les légumes gonflés à la pompe à vélo. Fini les viandes bourrées d'anabolisants.

    Ce 2 Juin 2011, j'arrête de m'empoisonner.

    En plus de m'empoisonner en mangeant, j'ingurgite des médicaments pour combattre cet empoisonnement. Paradoxal non ? Alors j'arrête aussi certains médocs. Exit « Xélévia » diabète, « Piasceldine » arthrose et « Zamudol » pour la douleur qui en fait n'a jamais eut vraiment d'effet.

    L'organisme humain a une force de régénérescence stupéfiante. Je vais m'en apercevoir.

    Dès le 20 Juin j'ai des résultats.

    Je perds déjà 2 kg et, et............je n'ai presque plus mal aux genoux.

    Mi-juillet, je n'ai plus mal aux genoux et je gravis les escaliers de manière normale. Je passe en dessous des 80 kg. Mon psoriasis régresse, plus besoin de pommades ni de pansements car mes squames sont devenues sèches. J'en avertis Timothée et Kevin qui se mettent aussitôt à cheval, ils adopte cette nouvelle diète. Fin Août mon psoriasis sur les coudes et sur les genoux est réduit à l'état de traces. Mes doigts retrouvent leur souplesse, la bascule accuse encore 76 kg. Les escaliers du métropolitain ne me font plus peur, je les monte et les descends sans l'aide de la rampe, et pour cause, mes deux mains qui ne saignent plus, me servent à porter ma valise et celle de mon épouse. Début Septembre je dois changer de taille de pantalon, je passe du 46 au 44. Si le poids descend, le moral remonte, en plus, suivant les analyses de sang mon taux de sucre dans le sang est redevenu presque normal, et ce, sans médoc ! Étais-je vraiment diabétique ? Fin Septembre, ah ! Je perds moins de poids, je ne suis qu'à 74 kg. Comme j'ai perdu 9 cm de tour de taille je suis obligé de faire un nouveau trou dans ma ceinture. Fin Octobre mes mains sont quasi cicatrisées et mon psoriasis aux genoux et aux coudes a complètement disparu. Je perds encore 1 kg. La bascule annonce 73 kg et je monte et descends les escaliers au pas de course. Cependant mes guibolles sont devenues de véritables cuisses de mouche. Je m'en inquiète auprès de mon médecin qui me prescrit des séances de kiné pour re-muscler tout ça. Fin Novembre, je frôle les 71 kg, mon psoriasis dans les paumes des mains régresse encore, plus que quelques squames par ci par là. Je décide de supprimer un autre médicament, éxit le « Thaor » qui me détruit les muscles. Fin Décembre, j'ai repris du poids, 72 kg, mais c'est de la masse musculaire, car mes cuisses ont repris une forme normale, et mes bras aussi. Janvier, mon poids tangente les 72 kg sans passer pour autant en dessous et mon tour de taille s'est encore réduit. Mon objectif, c'est 70 kg, ce qui me donnera un indice IMC honorable de 23,5. Chouette non ? Comme médicaments je ne conserve plus que :

    • Kardégic (pour fluidifier le sang).

    • Témérit (hypertension).

    • Exoforge (hypertension).

    Au fait, le cholestérol est-il une vraie maladie ou est-ce une véritable escroquerie ? Suis-je vraiment hypertendu ? La perte de poids conséquente tendrait à dire que non, ainsi que la mesure quotidienne de ma tension artérielle qui est presque toujours de l'ordre de 12/7. Au vu de cela et comme dit précédemment, j'ai supprimé le « Tahor » en fin Novembre 2011. Les prochaines analyses de sang me diront si j'ai tord ou raison.

    Ce que je constate c'est que mes frères, Timothée et Kevin, qui suivent la même diététique, arrivent aux mêmes résultats. Mon autre frère, Paul, pas convaincu au départ, lui aussi du groupe « O », est obligé de se rendre à l'évidence, et se met à la même diète. Lui aussi va voir son psoriasis régresser à une vitesse fulgurante, alors que c'était lui le plus atteint. Nous sommes donc quatre à faire la même expérience et à avoir les mêmes résultats. Curieux non ?

     

     

    À suivre.


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